Dimanche 6 décembre 2009


Quatrième de couverture :
Vous vous rendez un beau matin dans un hôtel du Vieux Montréal pour y rencontrer un étrange vieillard : Egon Ratablavsky.
Vous ignorez tout de cet homme. Lui, en revanche, connaît votre vie par cœur. Il vous propose comme ça, sans raison, une occasion extraordinaire, inespérée : le rêve de votre vie ! Allez-vous reculer ? C'est ce qui arrive à Florent Boissonneault et à sa femme Elise qui, grâce, à ce mystérieux bienfaiteur, vont pouvoir ouvrir un restaurant et de pauvres devenir riches ! Mais si c'était là un piège diabolique ? Ainsi commence une histoire échevelée, celle d'un combat bizarre et terrible autour d'un restaurant, d'un gamin et d'un matou.
Salué par une critique unanimement élogieuse, Le Matou a remporté un énorme succès. La truculence, l'humour, la fantaisie, le charme, la férocité, la tendresse, contribuent à faire de ce roman une fête du récit et de son auteur l'un des conteurs les plus doués que la littérature d'expression française ait découverts depuis longtemps.

Mon avis : pfffiou quelle déception ! Ce qui m'a d'abord gêné dans ce livre c'est le style, simple (trop ?) et fluide il est cependant alourdi par de fréquentes métaphores que j'ai trouvées tirées par les cheveux, comme si l'auteur cherchait à tout prix à paraître original... ça se lit tout de même facilement, disons que le lecteur est soutenu par de nombreuses péripéties, mais l'écriture ne donne pas envie de s'arrêter spécialement sur un passage, on cherche juste à savoir ce qui va arriver aux personnages, qui sont certes plutôt attachants, mais... si le roman avait fait 200 pages, j'aurais sans doute conclu : ouais, c'est mignon quoi.
Le problème, c'est qu'il en fait 600, les aventures s'enchaînent de façon rocambolesque, et ça finit par lasser sérieusement. Je l'ai terminé parce que j'avais décidé de lire ce livre pour le défi blog-o-trésor, parce qu'il m'avait été chaudement recommandé, et puis j'espérais jusqu'au bout qu'une péripétie capitale allait bouleverser mon opinion sur ce roman ; et en effet péripétie capitale il y a, mais mon dieu j'ai trouvé ça d'un pathétique, j'ai eu tellement l'impression que l'auteur avait décidé de tuer ce personnage exprès pour apitoyer le lecteur, et seulement dans ce but.... pfff. Et au final, pas de véritable dénouement, aucune explication qui se tienne pour éclaircir tous les mystères du roman !
De plus certains rebondissements m'ont paru bien prévisibles, et globalement, le regard que l'auteur porte sur ses personnages (et donc le regard qu'il voudrait que le lecteur porte sur ces derniers) m'a paru très complaisant, vous savez, cette impression que l'auteur vous dit : "regardez comme le sort s'acharne sur mes pauvres héros qui sont pourtant si gentils, si courageux, si méritants !" Exaspérant. Cela m'étonne vraiment que la critique ait été "unanimement élogieuse", du coup.
Ce roman, je le vois comme une œuvre de divertissement qui peut charmer, je n'en doute pas, c'est "gentil", et certaines scènes du début donnent le sourire mais le tout m'a semblé bien niais, mon enthousiasme a été de courte durée... même si j'ai été contente de trouver quelques expressions québécoises, mais pour ce côté-là aussi je suis plutôt déçue, je m'attendais à un dépaysement linguistique plus grand... en film, ça passerait peut-être mieux.

Lundi 21 décembre 2009

http://bouquins.cowblog.fr/images/livres/unchantdenoel.jpg(titre original : A Christmas Carol, aussi traduit par : Un conte de Noël / Le drôle de Noël de Scrooge)

Résumé :
Le soir de Noël, un vieil homme égoïste et solitaire choisit de passer la soirée seul. Mais les esprits de Noël en ont décidé autrement. L'entraînant tour à tour dans son passé, son présent et son futur, les trois spectres lui montrent ce que sera son avenir s'il persiste à ignorer que le bonheur existe, même dans le quotidien le plus ordinaire.

Mon avis : je connaissais déjà cette histoire grâce à deux adaptations animées : Le Noël de Mickey (cliquez  pour voir en ligne la première partie, et la deuxième partie est ), mais surtout, un dessin animé peu connu (je crois me souvenir que l'animation n'était pas très fluide), Le Noël de Mr Scrooge, qui m'avait enchantée quand j'étais petite. Aujourd'hui, comme vous le savez certainement, Disney propose une nouvelle adaptation de ce conte, Le Drôle de Noël de Scrooge (que je n'ai pas eu l'occasion de voir), et je me suis souvenu à cette occasion qu'un conte de Dickens était à l'origine de ces différentes adaptations, et j'ai donc décidé de le lire enfin.

Cette lecture ne m'a pas vraiment surprise, les adaptations que j'ai vues sont assez fidèles au conte original il me semble (mais mes souvenirs sont quand même un peu flous)., et puis  on devine très rapidement quelle va être l'issue du conte. On peut peut-être reprocher à Dickens un goût pour le pathétique, que j'avais déjà moyennement apprécié dans Olivier Twist, ici les descriptions de la misère de certains personnages, et de leur bonté par contraste, m'ont paru exagérées, c'est vraiment plein de bons sentiments... Le fait que Mr Scrooge change radicalement son comportement en si peu de temps - dès l'arrivée du second spectre il est tout plein de bonne volonté - est peu crédible, mais je pense qu'il ne faut trop chercher de réalisme dans ce conte qui de toute façon s'inscrit dans le genre du fantastique, puisqu'il s'agit d'une histoire de fantômes. J'ai trouvé ce conte très bien écrit, le style est rendu vivant par de fréquentes adresses au lecteur, et les descriptions détaillées des situations m'ont bien plu. L'ensemble est bien mignon, quoique moralisateur -_- et me semble accessible à un public assez jeune (mais pas trop quand même), qui sera peut-être plus sensible que moi à l'"Esprit de Noël" que prône l'auteur dans ce conte ? (ouille, ça me vieillit de dire ça, mais c'est sans doute vrai malgré tout :/ !) Une petite lecture agréable pour moi, mais un peu décevante si je la compare à mon émerveillement  enfantin, la première fois que j'ai vu le premier dessin animé...

Note : Je me suis aperçu après avoir commencé ma lecture que ce livre était la lecture commune choisie pour le club de lecture de Livraddict. Vous pourrez donc dénicher sur le forum, dans la section Lectures communes, différents avis sur divers aspects de ce conte.

Mardi 29 décembre 2009

http://bouquins.cowblog.fr/images/livres/lebruitetlafureur.jpg~> CHALLENGE ABC 2009, lettre F - 23ème livre lu <~
[ Matilda's Contest ]

Quatrième de couverture / extrait : oui je le hais je mourrais pour lui je suis déjà morte pour lui je meurs pour lui encore et encore chaque fois que cela se produit...
Pauvre Quentin
Elle se renversa en arrière appuyée sur ses bras les mains nouées autour des genoux
Tu n'as jamais fait cela n'est-ce pas
Fait quoi
Ce que j'ai fait
Si si bien des fois avec bien des femmes.
Puis je me suis mis à pleurer sa main me toucha de nouveau et je pleurais contre sa blouse humide elle était étendue sur le dos et par-delà ma tête elle regardait le ciel je pouvais voir un cercle blanc sous ses prunelles et j'ouvris mon couteau.

Résumé (amazon) : C'est avec cet ouvrage explosif que William Faulkner fut révélé au public et à la critique. Auteur de la moiteur étouffante du sud des États-Unis, Faulkner a réellement bouleversé l'académisme narratif en plaçant son récit sous le signe du monologue intérieur, un monologue d'abord "confié" à un simple d'esprit passablement dépassé par les événements qui se déroulent autour de lui. Confusément, les images qui lui parviennent font remonter ses souvenirs : il brosse de façon impressionniste et chaotique l'histoire douloureuse de sa famille. Vient ensuite le moment d'écouter les confessions de Quentin, son frère, exposant les raisons qui le pousseront à se donner la mort. D'amours déçues en déchirements, la fratrie (qui compte un troisième membre ayant lui aussi son monologue) se désagrège. Jouant subtilement avec les différences de registres en passant d'un personnage à l'autre, Faulkner conclut en tant que narrateur extérieur ce roman violent, où chacun se débat tant bien que mal sans réellement pouvoir se soustraire à un destin funeste.

Mon avis : Un roman difficile à lire, sachez-le d'emblée ; j'ai eu envie de l'inclure au challenge ABC parce que je le connaissais de nom et je trouvais le titre très beau, (et c'est une référence à Macbeth en fait : "La vie […] : une fable racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien." ). je me suis lancée dans cette lecture sans rien connaître de l'histoire mais au bout de quelques pages, j'ai déchanté, j'avais l'impression de ne rien comprendre, je n'arrivais pas à saisir qui était le narrateur, ni à quoi il faisait allusion ; alors, plutôt que d'abandonner ce livre, j'ai décidé de lire la préface proposée par le traducteur (chose que je fais très rarement), et je dois dire qu'elle m'a bien aidée, en donnant des informations sur la composition du roman, j'ai pu comprendre quel est le point de vue adopté dans chaque partie, et ça m'a semblé essentiel pour ne pas perdre le fil.

Ce roman nous montre - et j'utilise ce verbe à dessein car j'ai vraiment eu l'impression que tout nous était montré plus que raconté, et encore, pas vraiment montré, c'est à nous de nous approcher, je n'ai pas eu le sentiment que ce roman était vraiment tourné vers son lecteur , mais tant mieux - l'histoire terrible d'une famille du sud des Etats-Unis, une famille où chacun semble un peu fou à sa manière, où l'amour est aussi destructeur que la haine. Nous voyons successivement à travers les yeux d'un handicapé mental, Ben, de Quentin, son frère qui ne supportera pas le départ et le mariage de leur soeur bien-aimée, Caddy ; et dans la troisième partie nous avons le point de vue de Jason, leur autre frère, qui a eu l'impression de s'être sacrifié pour cette famille, et qui hait Quentin, la fille de Caddy qui est ensuite élevée chez eux. Il faut aussi prendre en compte les autres personnages : Caroline, la mère, Jason, le père et les serviteurs noirs : Roskus, Frony, le jeune Luster et surtout la bonne et dévouée Dilsey. 

Plusieurs personnages portent le même prénom, parfois la ponctuation est presque absente, le roman ne suit pas un ordre chronologique, les retours dans le passé se font de façon imprévisible, pensées au présent et souvenirs se mêlent sans logique, comme c'est le cas dans la réalité : ces monologues intérieurs demandent donc une certaine concentration au lecteur, qui ne peut pas tout comprendre (pas du premier coup en tout cas !) ; mais grâce à ce procédé d'écriture, c'est toute une atmosphère qui ressurgit sous nos yeux, sans les artifices de la narration traditionnelle, c'est au lecteur de s'adapter pour comprendre ce monde. Si parfois la lecture m'a semblé vraiment laborieuse, à d'autres moments j'étais vraiment "dedans" et j'ai été vraiment touchée par certains passages ; chaque partie est vraiment écrite avec un style, un regard différent, ce roman me semble vraiment très riche et je suis persuadée que je pourrais encore le relire plusieurs fois avant d'avoir le sentiment de l'avoir épuisé ; c'est une lecture qui demande un effort, mais un effort qui en vaut la peine !

Pour conclure je vais laisser la parole au traducteur (que je remercie infiniment !) : "Je ne crains pas, du reste, d'affirmer que la compréhension absolue de chaque phrase n'est nullement nécessaire pour goûter Le bruit et la fureur. Je comparerais volontiers ce roman à ces paysages qui gagnent à être vus quand la brume les enveloppent. La beauté tragique s'en accroît, et le mystère en voile les horreurs qui perdraient en force sous des lumières trop crues. L'esprit assez réfléchi pour saisir, à une première lecture, le sens de toutes les énigmes que nous propose M. Faulkner, n'éprouverait sans doute pas cette impression d'envoûtement qui donne à cet ouvrage unique son plus grand charme et sa réelle originalité."

Mardi 29 décembre 2009

Quatrième de couverture : Sur Manderley, superbe demeure de l'ouest de l'Angleterre, aux atours victoriens, planent l'angoisse, le doute : la nouvelle épouse de Maximilien de Winter, frêle et innocente jeune femme, réussira-t-elle à se substituer à l'ancienne madame de Winter, morte noyée quelque temps auparavant ? Daphné du Maurier plonge chaque page de son roman - popularisé par le film d'Hitchcock, tourné en 1940, avec Laurence Olivier et Joan Fontaine - dans une ambiance insoutenable, filigranée par un suspense admirablement distillé, touche après touche, comme pour mieux conserver à chaque nouvelle scène son rythme haletant, pour ne pas dire sa cadence infernale. Un récit d'une étrange rivalité entre une vivante - la nouvelle madame de Winter - et le fantôme d'une défunte, qui hante Maximilien, exerçant sur lui une psychose, dont un analyste aurait bien du mal à dessiner les contours avec certitude. Du grand art que l'écriture de Daphné du Maurier, qui signe là un véritable chef-d'oeuvre de la littérature du XXe siècle, mi-roman policier, mi-drame psychologique familial bourgeois.

Mon avis : Un beau roman, on s'attache vite à l'héroïne, même si j'ai trouvé qu'elle pensait parfois un peu comme une "petite adolescente" un poil trop trop sentimentale. Son mariage la fait évoluer, et j'ai trouvé très intéressant de la voir partagée entre ses rêves d'une vie idéale et sa lucidité croissante, qui donne lieu à un constat moins brillant de sa vie de couple. L'ombre de la femme défunte, Rebecca, s'impose de façon subtile mais est de plus en plus présente. Le personnage diabolique de Mrs Danvers (la femme de charge qui dirige la maison et adorait Rebecca) fait froid dans le dos et le lecteur a alors d'autant plus envie de soutenir l'héroïne tout timide, qui a bien du mal à s'adapter au milieu codifié et dominé par la peur du qu'en dira-t-on où elle a été jetée (son malaise avec les domestiques notamment est très bien décrit !)
Le rythme du roman change lorsque le mari, Maxim, se décide enfin à lui révéler des choses d'importance au sujet de la fameuse et obsédante Rebecca, et suite aux rebondissements concernant sa mort il y a un certain suspense ; même si j'avais deviné l'une des péripéties, l'essentiel est bien ficelé et captivant. En somme j'ai beaucoup aimé ce roman, séduisant par son intrigue riche en surprises, par le portrait de ses personnages (j'ai particulièrement apprécié le fait que l'héroïne imagine sans cesse d'hypothétiques situations) ; le style m'a peut-être un peu déçue, si l'ensemble m'a paru bien écrit, certaines formules un peu cliché et mélo comme "le soleil était plein de promesses" m'ont semblé maladroites, mais finalement elles sont assez en accord avec la personnalité un peu naïve de la narratrice. A présent, j'aimerais beaucoup voir l'adaptation d'Hitchcock ! (d'autant plus que Laurence Olivier, que j'adore dans les Hauts de Hurlevent de William Wyler, joue le rôle de Maxim ! :p)

Jeudi 31 décembre 2009

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♦ Dernier jour de l'année, j'ai envie de faire un petit bilan livresque :)
Si je ne me suis pas trompée, j'ai lu 90 livres cette année, et je ne suis pas vraiment satisfaite de mon rythme de lecture, j'ai eu plusieurs périodes de passages à vide cette année, j'aimerais tant retrouver la frénésie de livres que j'avais au lycée, ou même au collège ! Ma bonne résolution de 2009 était de retrouver des moments de lecture au lit... or je lis toujours très peu le soir, je l'ai pour ainsi dire seulement fait pendant ces derniers jours ! Mais je persévère pour l'année prochaine !

♦ Un topic du forum Livraddict (que je continue de vous recommander chaudement !) m'a donné l'idée de mettre en avant mes plus gros coups de cœur de cette année ; voici donc mon top 10 de mes lectures de 2009 ! (plutôt dans le désordre, trop dur pour moi de vraiment hiérarchiser mes lectures aimées !)
http://bouquins.cowblog.fr/images/livres/histoiresansfin-copie-1.jpghttp://bouquins.cowblog.fr/images/livres/laviedevantsoi-copie-1.jpghttp://bouquins.cowblog.fr/images/livres/orgueiletprejuges-copie-1.jpghttp://bouquins.cowblog.fr/images/livres/refletsdansunoeildor-copie-1.jpghttp://bouquins.cowblog.fr/images/livres/41XG4QXGGALSS500-copie-1.jpg

- La Vie devant soi, de Romain Gary

- Petit Déjeuner chez Tiffany, de Truman Capote

- Voyage au bout de la nuit, de Louis-Ferdinand Céline

- Reflets dans un œil d'or, de Carson McCullers

- Cent ans de solitude, de Gabriel Garcia Marquez
(ex-aequo avec De l'amour et autres démons)

- Le Vagabond des Etoiles, de Jack London

- No et moi, de Delphine de Vigan

- Orgueil et Préjugés, de Jane Austen

- Ravage, de René Barjavel

- L'Histoire sans fin, de Mickael Ende

http://bouquins.cowblog.fr/images/livres/2233645097small1.jpghttp://bouquins.cowblog.fr/images/livres/centansdesolitude-copie-1.jpghttp://bouquins.cowblog.fr/images/livres/2279373433small1.jpghttp://bouquins.cowblog.fr/images/livres/2432863593small1.jpghttp://bouquins.cowblog.fr/images/livres/ravage-copie-1.jpghttp://bouquins.cowblog.fr/images/livres/002.jpg

... et en bonus, la nouvelle Voix (extraite du recueil Le Jeu de l'envers de Tabucchi), que j'aime follement et vous pouvez lire en ligne ici !

♦ En ce qui concerne les challenges, j'ai réussi le Défi blog-o-trésors (4 livres, c'était assez facile !) ; je ne suis pas allée au bout de mon challenge ABC 2009, (23 livres sur 26, peut-être 24), je m'y attendais et cela ne me déçoit pas vraiment, étant donné que je l'ai presque fini ; et globalement je suis très contente des choix que j'avais fait pour ce défi. Je renouvellerai bien entendu l'expérience en 2010 car ce challenge me plaît beaucoup ! Comme je participe également au challenge Livraddict 2010, je ne pense pas que participerai à d'autres challenges.

♦ Je prends pour résolutions en 2010, évidemment de lire plus, et donc, parce que ça va ensemble, de passer beaucoup moins de temps sur l'ordi ; mais aussi de tenir un registre de lecture sur papier (comme Raison et Sentiments, mon rêve secret est de dépasser ses statistiques héhé :p) pour noter précisément mes lectures ; je pensais que ce blog me suffirait, mais finalement je me dis qu'une liste affichée dans ma chambre (je n'ai pas toujours accès à Internet) et complétée au fur et à mesure me permettrait de mieux me rendre compte encore de mon rythme de lecture, et m'aiderait peut-être à l'améliorer...

Je sous souhaite une bonne santé,
une envie de lire grandissante
et beaucoup de joie pour 2010 ! :D

MeL

Jeudi 31 décembre 2009

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Je rappelle la règle du jeu pour ceux qui ne la connaîtraient pas : le but de ce challenge est de lire, dans l'année, 26 livres. Ces livres sont choisis selon l'initiale du nom de leur auteur. Un auteur commençant par A, un autre par B, ... jusqu'à Z ! [Blog officiel du challenge => http://challengeabc2010.canalblog.com ]

J'ai déjà participé au
challenge ABC 2009, que je n'ai pas fini ; je devrais donc lire en plus en 2010 les livres du challenge abc 2009 non lus dans les temps... ci-dessous, ma liste pour cette année, qui n'est pas forcément définitive.

A : Auster, La Nuit de l'oracle ~> Lu en mai
B : Barbey d'Aurevilly, Les Diaboliques ~>
Lu en octobre
C : Cocteau, Les Enfants terribles ~>
Lu en juillet
D : Daudet, Le Petit Chose ~>
Lu en décembre
E : d'Epenoux, Deux jours à tuer ~>
Lu en février
F : Fromentin, Dominique ~>
Lu en octobre
G : Gray, Au nom de tous les miens ~>
Lu en octobre
H : Harris, Chocolat ~>
Lu en janvier
I : Ibsen, Une Maison de Poupée ~>
Lu en juillet
J : Jelinek, La Pianiste ~>
Lu en juin
K : King, La Ligne Verte ~>
Lu en novembre
L : Le Fanu, Carmilla ~>
Lu en janvier
M : Musset, On ne badine pas avec l'amour ~>
Lu en juillet
N : Nabokov, La Vraie vie de Sebastian Knight ~>
Lu en août
O : Oz, Soudain dans la forêt profonde ~>
Lu en février
P : Paolini, Eragon ~>
Lu en octobre
Q : Queffelec, Les Noces Barbares ~>
Lu en octobre
R : Rowling, The Tales of Beedle The Bard ~>
Lu en octobre
S : Semprun, L'Ecriture ou la vie
T : Testud, Gamines ~>
Lu en janvier
U : Ueda, Contes de pluie et de lune ~>
Lu en février
V : Vallès, l'Enfant ~>
Lu en août
W : Wallace, Big Fish ~>
Lu en janvier
X : Xinran, Baguettes chinoises
~> Lu en janvier
Y : Yoshimoto, Kitchen ~>
Lu en février
Z : Zusak, La Voleuse de Livres ~>
Lu en octobre

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