Quatrième de couverture : " Qu'il est dangereux de se mettre à la fenêtre et qu'il est difficile d'être heureux dans cette vie ! " Ainsi soupire Zadig, jeune Babylonien, devenu favori du roi et promis à une enviable destinée. Pour être tombé amoureux de la reine Astarté, le voilà obligé de fuir, rendu à la condition d'esclave, victime des brigands, des fanatiques religieux, en butte aux pires catastrophes... Mais à travers ce cheminement capricieux, la Providence veille et l'homme est à sa place.
Mon avis : Un conte philosophique dans la même lignée que Candide. Les aventures de Zadig sont plaisantes, notamment celles avec les femmes, et je trouve que Zadig est un personnage encore plus sympathique que Candide. Le cadre oriental rend le tout très pittoresque. On retrouve dans ce conte l'ironie propre à Voltaire, qui critique ici le fanatisme religieux, la justice, les courtisans.... c'est aussi une grande apologie de la sagesse, et une réflexion sur le bonheur. Un passage à la fin m'a fait tiquer, quand la Providence à laquelle Zadig se soumet dit "qu'il n'y a pas de mal dont il ne naisse un bien". Dans Candide qu'il a écrit après Zadig, Voltaire se détache de ce déterminisme, qui moi m'a choqué à la lecture (étant donné que j'avais déjà lu Candide)
Mon avis : Un conte philosophique dans la même lignée que Candide. Les aventures de Zadig sont plaisantes, notamment celles avec les femmes, et je trouve que Zadig est un personnage encore plus sympathique que Candide. Le cadre oriental rend le tout très pittoresque. On retrouve dans ce conte l'ironie propre à Voltaire, qui critique ici le fanatisme religieux, la justice, les courtisans.... c'est aussi une grande apologie de la sagesse, et une réflexion sur le bonheur. Un passage à la fin m'a fait tiquer, quand la Providence à laquelle Zadig se soumet dit "qu'il n'y a pas de mal dont il ne naisse un bien". Dans Candide qu'il a écrit après Zadig, Voltaire se détache de ce déterminisme, qui moi m'a choqué à la lecture (étant donné que j'avais déjà lu Candide)