Quatrième de couverture : Michel Tournier avait déjà repris la célèbre aventure de A. Selkirk, le Robinson Crusoé du roman de Defoe, dans Vendredi ou les limbes du Pacifique, en y ajoutant une forte dimension philosophique. Vendredi ou la vie sauvage garde cette dimension, même s'il s'agit d'une adaptation pour les enfants. Il faut sans doute l'éclairage d'un adulte pour en tirer toute la richesse. Mais c'est aussi un livre d'apprentissage plus pratique : comment construire un arc et tailler des flèches, comment parler grâce au langage des mains, ou comment construire des règles de vie, nécessaires à toute communauté. Enfin, avec l'apparition de Vendredi dans l'univers de Robinson, les enfants pourront saisir toute la complexité des relations humaines et combien la présence d'autrui nous est nécessaire et même indispensable.
Mon avis : un livre que j'avais étudié en cinquième (ça commence à faire loin...) et qui, je me souviens, m'avait beaucoup plu ; contrairement à la version originale de Defoe, l'histoire est surtout axée autour du personnage de Vendredi ; après avoir été quelque temps le serviteur de Robinson Crusoé, Vendredi finit par mener la danse en montrant à son ami que nul n'est besoin de recréer un monde civilisé semblable à celui qui existe en Angleterre sur l'île.
Mon avis : un livre que j'avais étudié en cinquième (ça commence à faire loin...) et qui, je me souviens, m'avait beaucoup plu ; contrairement à la version originale de Defoe, l'histoire est surtout axée autour du personnage de Vendredi ; après avoir été quelque temps le serviteur de Robinson Crusoé, Vendredi finit par mener la danse en montrant à son ami que nul n'est besoin de recréer un monde civilisé semblable à celui qui existe en Angleterre sur l'île.