Quatrième de couverture : Au début des années 1990, la narratrice est embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise. Elle va découvrir à ses dépens l'implacable rigueur de l'autorité d'entreprise, en même temps que les codes de conduite, incompréhensibles au profane, qui gouvernent la vie sociale au pays du Soleil levant.
D'erreurs en maladresses et en échecs, commence alors pour elle, comme dans un mauvais rêve, la descente inexorable dans les degrés de la hiérarchie, jusqu'au rang de surveillante des toilettes, celui de l'humiliation dernière. Une course absurde vers l'abîme – image de la vie –, où l'humour percutant d'Amélie Nothomb fait mouche à chaque ligne.
Entre le rire et l'angoisse, cette satire des nouveaux despotismes aux échos kafkaïens a conquis un immense public et valu à l'auteur d'Hygiène de l'assassin le Grand Prix du roman de l'Académie française en 1999.
Mon avis : un Nothomb peut-être moins profond que certains autres (Biographie de la Faim, Cosmétique de l'ennemi...) mais terriblement drôle et bien écrit. La lecture de ce livre constitue un moment jouissif, on est amusé par la détermination d'Amélie en même temps qu'effrayé de la vision japonaise du travail et de la vie en général... très bon !
D'erreurs en maladresses et en échecs, commence alors pour elle, comme dans un mauvais rêve, la descente inexorable dans les degrés de la hiérarchie, jusqu'au rang de surveillante des toilettes, celui de l'humiliation dernière. Une course absurde vers l'abîme – image de la vie –, où l'humour percutant d'Amélie Nothomb fait mouche à chaque ligne.
Entre le rire et l'angoisse, cette satire des nouveaux despotismes aux échos kafkaïens a conquis un immense public et valu à l'auteur d'Hygiène de l'assassin le Grand Prix du roman de l'Académie française en 1999.
Mon avis : un Nothomb peut-être moins profond que certains autres (Biographie de la Faim, Cosmétique de l'ennemi...) mais terriblement drôle et bien écrit. La lecture de ce livre constitue un moment jouissif, on est amusé par la détermination d'Amélie en même temps qu'effrayé de la vision japonaise du travail et de la vie en général... très bon !