Quatrième de couverture : Antonio José Bolivar Proaño est le seul à pouvoir chasser le félin tueur d'hommes. Il connaît la forêt amazonienne, il respecte les animaux qui la peuplent, il a vécu avec les indiens Shuars et il accepte le duel avec le fauve. Mais Antonio José Bolivar a découvert sur le tard l'antidote au redoutable venin de la vieillesse : il sait lire, et il a une passion pour les romans qui parlent d'amour, le vrai, celui qui fait souffrir. Partagé entre la chasse et sa passion pour les romans, le vieux nous entraîne dans ce livre plein de charme dont le souvenir ne nous quitte plus.
Mon avis : un petit livre charmant, dépaysant, serein, et qui délivre un beau message d'écologie. Je m'attendais à ce que le côté "lecteur" du personnage soit plus développé, mais ce livre reste vraiment très agréable à lire. Je vais l'offrir à Minou pour Noël. Le héros a une philosophie de vie bien à lui, et lorsqu'il chasse le jaguar, il semble être à la fois son ami et son ennemi, cette relation singulière entre l'homme et la nature m'a beaucoup rappelée Le Vieil homme et la mer d'Ernest HEMINGWAY_, je trouve qu'on a un peu le même type d'atmosphère dans ces deux livres.
Mon avis : un petit livre charmant, dépaysant, serein, et qui délivre un beau message d'écologie. Je m'attendais à ce que le côté "lecteur" du personnage soit plus développé, mais ce livre reste vraiment très agréable à lire. Je vais l'offrir à Minou pour Noël. Le héros a une philosophie de vie bien à lui, et lorsqu'il chasse le jaguar, il semble être à la fois son ami et son ennemi, cette relation singulière entre l'homme et la nature m'a beaucoup rappelée Le Vieil homme et la mer d'Ernest HEMINGWAY_, je trouve qu'on a un peu le même type d'atmosphère dans ces deux livres.