Quatrième de couverture : " Cette planète est notre berceau mais nous l'avons saccagée. Nous ne pourrons plus jamais la soigner ni la retrouver comme avant. Quand la maison s'effondre, il faut partir. Recommencer tout, ailleurs et autrement. Le Dernier Espoir, c'est la Fuite. "
Mon avis : moins révolutionnaire que d'autres livres du même auteur on retrouve toujours un peu les mêmes idées : Werber lance un message écolo et cherche comment la société humaine peut être améliorée, en s'inspirant notamment de la société des fourmis. Je ne me suis pourtant pas ennuyée: cette histoire délirante de conquête de l'espace pour implanter une nouvelle (et meilleure) humanité ailleurs est tout à fait attirante et peut donner lieu à bien des péripéties possibles. J'ai beaucoup aimé le personnage dElisabeth Malory, la skipper handicappée. Et même si je n'ai pas ressenti d'émerveillement comparable à ce que j'ai eu face aux Fourmis ou aux Thanatonautes, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman !
Mon avis : moins révolutionnaire que d'autres livres du même auteur on retrouve toujours un peu les mêmes idées : Werber lance un message écolo et cherche comment la société humaine peut être améliorée, en s'inspirant notamment de la société des fourmis. Je ne me suis pourtant pas ennuyée: cette histoire délirante de conquête de l'espace pour implanter une nouvelle (et meilleure) humanité ailleurs est tout à fait attirante et peut donner lieu à bien des péripéties possibles. J'ai beaucoup aimé le personnage dElisabeth Malory, la skipper handicappée. Et même si je n'ai pas ressenti d'émerveillement comparable à ce que j'ai eu face aux Fourmis ou aux Thanatonautes, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman !