Quatrième de couverture / extrait :
- Comment s'appellent-ils ces trois là ?
- Steinbock, Ibbieta et Mirbal, dit le gardien. Le commandant mit ses lorgnons et regarda sa liste :
- Steinbock... Steinbock... Voilà. Vous êtes condamné à mort.
Vous serez fusillé demain matin.
Il regarda encore :
- Les deux autres aussi, dit-il.
- C'est pas possible, dit Juan. Pas moi.
Le commandant le regarda d'un air étonné...
Mon avis : formidable ! J'ai été impressionnée par la force qui se dégage de ce recueil de nouvelles (Le mur / La chambre / Erostrate / Intimité / Enfance d'un chef), des nouvelles qui évoquent la mort, l'amour, la folie, la misanthropie, la difficulté à s'intégrer au monde, des nouvelles aux intrigues originales, on reconnait la pensée sartrienne tout en étant séduit par ces fictions merveilleusement bien écrites... j'adore !
- Comment s'appellent-ils ces trois là ?
- Steinbock, Ibbieta et Mirbal, dit le gardien. Le commandant mit ses lorgnons et regarda sa liste :
- Steinbock... Steinbock... Voilà. Vous êtes condamné à mort.
Vous serez fusillé demain matin.
Il regarda encore :
- Les deux autres aussi, dit-il.
- C'est pas possible, dit Juan. Pas moi.
Le commandant le regarda d'un air étonné...
Mon avis : formidable ! J'ai été impressionnée par la force qui se dégage de ce recueil de nouvelles (Le mur / La chambre / Erostrate / Intimité / Enfance d'un chef), des nouvelles qui évoquent la mort, l'amour, la folie, la misanthropie, la difficulté à s'intégrer au monde, des nouvelles aux intrigues originales, on reconnait la pensée sartrienne tout en étant séduit par ces fictions merveilleusement bien écrites... j'adore !