Quatrième de couverture : Un dimanche d'avril 1917, François, seize ans, fait la connaissance de Marthe, dix-huit ans, qui est déjà fiancée à Jacques, soldat combattant sur le front. Une idylle s'ébauche entre les deux jeunes gens et lorsque Marthe, qui s'est mariée au cours d'une permission de Jacques, habite seule l'appartement conjugal, ils deviennent amants et commettent mille imprudences. Marthe s'aperçoit alors qu'elle est enceinte. C'est en enfant que va se conduire François dans une aventure d'homme.
Récit d'un amour adultère et tragique, ardent et sincère,
Le Diable au corps est un chef-d'oeuvre qui fut porté à l'écran par Claude Autant-Lara, avec Micheline Presle et Gérard Philipe. (je n'ai pas vu le film)
Mon avis : Un livre vraiment magnifique et assez court pour être lu d'une traite, un bonheur. Le style est très beau et juste, on a dans ce roman une belle analyse psychologique des sentiments du héros, on voit les différents aspects de l'amour : François est à la fois passionné et manipulateur, on a pitié de lui, on s'identifie, on s'émeut de son amour mais en lisant certains passages on le déteste aussi ! De mon point de vue des tas de passages sont cultes. J'adore tout simplement !
Extraits :
" Moi qui trouvais enfantin que Marthe découvrît dans mon mutisme une preuve d'indifférence, à mon tour, je l'accusais de ne plus m'aimer, parce qu'elle se taisait."
"La troisième fois que le cocher se retourna, nous descendîmes. Cet homme croyait surprendre notre troisième baiser, il surprenait le même."
Récit d'un amour adultère et tragique, ardent et sincère,
Le Diable au corps est un chef-d'oeuvre qui fut porté à l'écran par Claude Autant-Lara, avec Micheline Presle et Gérard Philipe. (je n'ai pas vu le film)
Mon avis : Un livre vraiment magnifique et assez court pour être lu d'une traite, un bonheur. Le style est très beau et juste, on a dans ce roman une belle analyse psychologique des sentiments du héros, on voit les différents aspects de l'amour : François est à la fois passionné et manipulateur, on a pitié de lui, on s'identifie, on s'émeut de son amour mais en lisant certains passages on le déteste aussi ! De mon point de vue des tas de passages sont cultes. J'adore tout simplement !
Extraits :
" Moi qui trouvais enfantin que Marthe découvrît dans mon mutisme une preuve d'indifférence, à mon tour, je l'accusais de ne plus m'aimer, parce qu'elle se taisait."
"La troisième fois que le cocher se retourna, nous descendîmes. Cet homme croyait surprendre notre troisième baiser, il surprenait le même."