Quatrième de couverture : Lorsque Don Alvare évoque Béelzébuth dans les ruines du palais Portici, le démon apparaît sous les traits d'une hideuse créature. Mais l'audacieux Alvare, vite maître de sa terreur, réduit le spectre à l'état d'esclave et en use comme Aladin de son génie. Sous les traits d'une sylphide, la créature n'a désormais plus rien de diabolique. Biondetta ! Comment rêver femme plus désirable, à la fois innocente et perverse, tourmentée et abandonnée ? Imposture ou magie, cette aventure qui se déroule en plein carnaval de Venise présente toutes les facettes d'un divertissement amoureux.
Mon avis : Agréable à lire, et vite lu, mais j'espérais trouver dans ce livre une atmosphère plus inquiétante, plus irréelle... ce roman est considéré (d'après un extrait de la quatrième de couverture que vous n'avez pas là ^^) comme "le premier grand récit fantastique français" ; le début et la fin (très chouette, la fin !) sont tout à fait fantastiques en effet, mais le milieu l'est moins, on en oublierait presque que Biondetta est un démon parfois... enfin je ne me plains pas non plus, la relation entre Alvare et Biondetta est très intéressante, mélange de soumission et de domination.... le tout est très bien écrit et ne manque pas d'humour.
Mon avis : Agréable à lire, et vite lu, mais j'espérais trouver dans ce livre une atmosphère plus inquiétante, plus irréelle... ce roman est considéré (d'après un extrait de la quatrième de couverture que vous n'avez pas là ^^) comme "le premier grand récit fantastique français" ; le début et la fin (très chouette, la fin !) sont tout à fait fantastiques en effet, mais le milieu l'est moins, on en oublierait presque que Biondetta est un démon parfois... enfin je ne me plains pas non plus, la relation entre Alvare et Biondetta est très intéressante, mélange de soumission et de domination.... le tout est très bien écrit et ne manque pas d'humour.