Résumé : La nuit des enfants rois se déroule à toute allure, comme un merveilleux film, d'où l'on sort ébloui. Cela se passe, une nuit, dans Central Park, à New York : sept adolescents sont sauvagement agressés, battus, certains violés. Mais ces sept-là ne sont pas comme les autres : ce sont des enfants-génies. De l'horreur, ils vont tirer contre le monde une haine froide, mathématique, éternelle. Avec leur intelligence, ils volent, ils accumulent les crimes parfaits. Car ces sept-là ne sont pas sept : ils sont un. Ils sont un seul esprit, une seule volonté. Celui qui l'a compris, Jimbo Farrar, lutte contre eux de toutes ses forces. A moins qu'il ne soit de leur côté... Alors, s'ils étaient huit, le monde serait à eux et ce serait la nuit, la longue nuit, La Nuit des enfants rois.
Mon avis : très bon livre. Au début je trouvais le style un peu enfantin, mais mon jugement a rapidement évolué, et je ne rangerais pas ce livre exclusivement dans la case "romans pour ados". L'intrigue est ingénieuse et captivante, on se demande qui sont réellement ces enfants, jusqu'où ils iront, et on ne cesse de s'interroger sur la relation qui les unit au héros, Jimbo Farrar. Les crimes commis par ces enfants sont terribles, malsains, ne cessent de s'enchaîner, on se sent perpétuellement inquiet en lisant ce livre, qui nous montre aussi le pouvoirs des ordinateurs...(ce qui devrait ravir les scientifiques) ! J'ai aussi trouvé émouvant l'amour que Jimbo porte à sa femme Ann (et vice-versa).
Mon avis : très bon livre. Au début je trouvais le style un peu enfantin, mais mon jugement a rapidement évolué, et je ne rangerais pas ce livre exclusivement dans la case "romans pour ados". L'intrigue est ingénieuse et captivante, on se demande qui sont réellement ces enfants, jusqu'où ils iront, et on ne cesse de s'interroger sur la relation qui les unit au héros, Jimbo Farrar. Les crimes commis par ces enfants sont terribles, malsains, ne cessent de s'enchaîner, on se sent perpétuellement inquiet en lisant ce livre, qui nous montre aussi le pouvoirs des ordinateurs...(ce qui devrait ravir les scientifiques) ! J'ai aussi trouvé émouvant l'amour que Jimbo porte à sa femme Ann (et vice-versa).