Genre : théâtre de l'absurde
Résumé : "L'arithmétique mène à la philologie, et la philologie au crime" (p. 87). Voilà comment on peut résumer cette tragédie parodique de 1951, plutôt lubrique, obéissant à l'esthétique de la surprise et conciliant "l'esprit d'avant-garde, le divertissement et le souci de l'invraisemblance systématique"
Mon avis : Dans le même style que la Cantatrice chauve, en (un peu) moins absurde. Du coup, c'est peut-être moins déconcertant, mais la fin, très violente, est tout de même vraiment impressionante... en tout cas, j'ai trouvé ça bien divertissant et rigolo =), c'est très rapide à lire, pourquoi s'en priver ?
Résumé : "L'arithmétique mène à la philologie, et la philologie au crime" (p. 87). Voilà comment on peut résumer cette tragédie parodique de 1951, plutôt lubrique, obéissant à l'esthétique de la surprise et conciliant "l'esprit d'avant-garde, le divertissement et le souci de l'invraisemblance systématique"
Mon avis : Dans le même style que la Cantatrice chauve, en (un peu) moins absurde. Du coup, c'est peut-être moins déconcertant, mais la fin, très violente, est tout de même vraiment impressionante... en tout cas, j'ai trouvé ça bien divertissant et rigolo =), c'est très rapide à lire, pourquoi s'en priver ?