Quatrième de couverture : " Ce que je sais, en physique, c'est que pour un homme se tenant sur la berge, le temps passe plus vite que pour celui qui se trouve en bateau -surtout si ce dernier est avec sa femme. "
Dans l'erreur est humaine, Woddy Allen renoue avec un sens du décalage, de la dérision et de l'absurde qui rappelle l'esprit de ses premiers films. Avec, comme toujours, des dialogues à hurler de rire.
Mon avis : Ohlàlà, grosse déception, j'ai eu un mal fou à le finir ! Je crois que je ne suis tout simplement pas réceptive à ce genre d'humour, ce recueil m'a agacée pour de multiples raisons ; Il s'agit toujours plus ou moins du même sujet : des individus riches (ou pauvres mais persuadés qu'ils feront fortune car convaincus de leur talent) se laissent embarquer dans des histoires rocambolesques et, à cause de leur bêtise, finissent ruinés ou échappent de peu à une catastrophe ; bien sûr il ne faut pas prendre tout cela au premier degré, Woody Allen se moque clairement des personnes superficielles obsédées par l'argent, la réputation... mais c'est un milieu qui a tendance à m'indifférer (pour ne pas dire m'ennuyer) profondément. Toutes ces nouvelles sont vraiment trop répétitives, et le style, souvent alambiqué pour donner un côté pédant risible, a fini par m'incommoder, ça manque vraiment de naturel, et j'ai trouvé ça très lourd ! A de multiples reprises, l'auteur évoque des oeuvres qui n'existent pas et nous en livre de longs extraits, des scénarios notamment, mais chacune d'entre elle m'a semblé une digression trop longue, et ce n'est parfois qu'à la fin de la nouvelle que je m'apercevais qu'il s'agissait en effet de son véritable sujet.
Les seules nouvelles que j'ai vraiment appréciées sont celles qui sortent un peu du lot, comme "Ainsi mangeait Zarathoustra", et "Sans foi ni matelas", dont j'ai savouré le côté absurde très poussé, mais globalement mon impression sur ce recueil est très négative...
Extrait : "A minuit ce soir-là, sur la route d'Amarillo, Texas, deux personnes roulaient à grande vitesse à bord d'une Ford rouge. De loin, les plaques d'immatriculation paraissaient authentiques, mais à y regarder de plus près on voyait bien qu'elles étaient en pâte d'amandes. Le chauffeur avait sur l'avant-bras droit un tatouage "PAIX, AMOUR, DECENCE". Lorsqu'il remontait sa manche gauche, un autre tatouage apparaissait : "Erreur d'impression - Ne pas tenir compte de l'avant-bras droit."
Dans l'erreur est humaine, Woddy Allen renoue avec un sens du décalage, de la dérision et de l'absurde qui rappelle l'esprit de ses premiers films. Avec, comme toujours, des dialogues à hurler de rire.
Mon avis : Ohlàlà, grosse déception, j'ai eu un mal fou à le finir ! Je crois que je ne suis tout simplement pas réceptive à ce genre d'humour, ce recueil m'a agacée pour de multiples raisons ; Il s'agit toujours plus ou moins du même sujet : des individus riches (ou pauvres mais persuadés qu'ils feront fortune car convaincus de leur talent) se laissent embarquer dans des histoires rocambolesques et, à cause de leur bêtise, finissent ruinés ou échappent de peu à une catastrophe ; bien sûr il ne faut pas prendre tout cela au premier degré, Woody Allen se moque clairement des personnes superficielles obsédées par l'argent, la réputation... mais c'est un milieu qui a tendance à m'indifférer (pour ne pas dire m'ennuyer) profondément. Toutes ces nouvelles sont vraiment trop répétitives, et le style, souvent alambiqué pour donner un côté pédant risible, a fini par m'incommoder, ça manque vraiment de naturel, et j'ai trouvé ça très lourd ! A de multiples reprises, l'auteur évoque des oeuvres qui n'existent pas et nous en livre de longs extraits, des scénarios notamment, mais chacune d'entre elle m'a semblé une digression trop longue, et ce n'est parfois qu'à la fin de la nouvelle que je m'apercevais qu'il s'agissait en effet de son véritable sujet.
Les seules nouvelles que j'ai vraiment appréciées sont celles qui sortent un peu du lot, comme "Ainsi mangeait Zarathoustra", et "Sans foi ni matelas", dont j'ai savouré le côté absurde très poussé, mais globalement mon impression sur ce recueil est très négative...
Extrait : "A minuit ce soir-là, sur la route d'Amarillo, Texas, deux personnes roulaient à grande vitesse à bord d'une Ford rouge. De loin, les plaques d'immatriculation paraissaient authentiques, mais à y regarder de plus près on voyait bien qu'elles étaient en pâte d'amandes. Le chauffeur avait sur l'avant-bras droit un tatouage "PAIX, AMOUR, DECENCE". Lorsqu'il remontait sa manche gauche, un autre tatouage apparaissait : "Erreur d'impression - Ne pas tenir compte de l'avant-bras droit."