Quatrième de couverture : Un jeune provincial de dix-huit ans, plein de rêves et plutôt séduisant, vient faire ses études à Paris. De 1840 au soir du coup d'Etat de 1851, il fait l'apprentissage du monde dans une société en pleine convulsion. Sur son chemin, il rencontre le grand amour et les contingences du plaisir, la Révolution et ses faux apôtres, l'art, la puissance de l'argent et de la bêtise, la réversibilité des croyances, l'amitié fraternelle et la fatalité des trahisons, sans parvenir à s'engager pour une autre cause que celle de suivre la perte de ses illusions.
Mon avis : c'est très très bien écrit, je suis toujours autant éblouie par le style de Flaubert, on s'y croirait vraiment ! Mais toutes les considérations politiques et historiques (Frédéric et ses copains n'arrêtent pas de refaire le monde, les évènements politiques de même sont décrits en profondeur) sont difficilement compréhensibles si on ne se réfère pas très régulièrement aux petites notes de bas de page, or lire ces petites notes sans arrêt est assez contraignant, résultat, tout cet aspect m'est passé assez au-dessus de la tête (même si je conviens qu'il est nécessaire au roman, enrichissant le cadre, les personnages etc). Mon intérêt a été cependant soutenu tout le long du roman (626 pages dans mon édition) par les aventures proprement sentimentales du héros, je me suis vraiment passionnée pour l'histoire de Frédéric et de Mme Arnoux (et de Louise, de Rosanette, et même de Mme Dambreuse), ne cessant d'espérer que Frédéric se décide enfin à agir à ma manière... un livre que je vous conseille, ne vous laissez pas impressionner par les passages historiques, tout le reste en vaut vraiment la peine !
Mon avis : c'est très très bien écrit, je suis toujours autant éblouie par le style de Flaubert, on s'y croirait vraiment ! Mais toutes les considérations politiques et historiques (Frédéric et ses copains n'arrêtent pas de refaire le monde, les évènements politiques de même sont décrits en profondeur) sont difficilement compréhensibles si on ne se réfère pas très régulièrement aux petites notes de bas de page, or lire ces petites notes sans arrêt est assez contraignant, résultat, tout cet aspect m'est passé assez au-dessus de la tête (même si je conviens qu'il est nécessaire au roman, enrichissant le cadre, les personnages etc). Mon intérêt a été cependant soutenu tout le long du roman (626 pages dans mon édition) par les aventures proprement sentimentales du héros, je me suis vraiment passionnée pour l'histoire de Frédéric et de Mme Arnoux (et de Louise, de Rosanette, et même de Mme Dambreuse), ne cessant d'espérer que Frédéric se décide enfin à agir à ma manière... un livre que je vous conseille, ne vous laissez pas impressionner par les passages historiques, tout le reste en vaut vraiment la peine !