Quatrième de couverture : Dans L'Avare, l'argent est le nerf de la guerre. Il détermine les êtres, qu'ils soient vieux ou jeunes, riches ou sans le sou, avares ou prodigues, et s'insinue au coeur des rapports humains. Cette grande comédie créée en 1668 met en scène un univers où tout n'est que contrats, et ou tout a un prix : manger, boire, se vêtir, aimer, ne pas mourir ; un monde où les sentiments filiaux sont sapés par le vice pathologique d'un homme qui n'est pas seulement avare, mais aussi convoiteux et paranoïaque. Et le vice aura le dernier mot. L'Avare, pièce morale ? La question mérite d'être posée.
Mon avis : qui ne connaît pas le personnage d'Harpagon ? Une pièce au rythme endiablé, pleine de quiproquos, avec des personnages qui ont tous une importance, et qui nous font sourire d'une façon ou d'une autre : une pièce très connue, et qui mérite d'être lue ! Maintenant je pourrais voir l'adaptation avec Louis de Funès, que je m'empêchais de regarder parce que je n'avais pas lue la pièce...
Extrait :
HARPAGON : Viens çà, que je te voie. Montre-moi tes mains.
LA FLECHE : Les voilà.
HARPAGON : Les autres ?
Mon avis : qui ne connaît pas le personnage d'Harpagon ? Une pièce au rythme endiablé, pleine de quiproquos, avec des personnages qui ont tous une importance, et qui nous font sourire d'une façon ou d'une autre : une pièce très connue, et qui mérite d'être lue ! Maintenant je pourrais voir l'adaptation avec Louis de Funès, que je m'empêchais de regarder parce que je n'avais pas lue la pièce...
Extrait :
HARPAGON : Viens çà, que je te voie. Montre-moi tes mains.
LA FLECHE : Les voilà.
HARPAGON : Les autres ?