Quatrième de couverture : Petite-fille et nièce adorée de deux demi-mondaines, Gigi s'applique à manger délicatement du homard à l'américaine, à distinguer une topaze d'un diamant jonquille et surtout à ne pas fréquenter " les gens ordinaires ". On lui apprend son futur métier de grande cocotte. Mais Gigi et Gaston Lachaille, le riche héritier des sucres du même nom, en décident autrement... Gigi, un des rares romans d'amour heureux de Colette, donne son titre à ce recueil qui réunit trois autres nouvelles : " L'enfant malade ", " La dame du photographe " et " Flore et Pomone ".
Mon avis : Gigi est une nouvelle vraiment amusante, tendre et légère ; l'enfant malade est poétique, fantastique, cette nouvelle raconte les rêves un peu fiévreux que fait un enfant... la dame du photographe parle d'une femme insatisfaite de sa "petite vie" ; enfin Flore et Pomone est une immense déclaration d'amour à la nature, où l'auteur nous parle d'arbres, de fleurs, d'oiseaux, de fruits et de jardins avec une très belle émotion. Un recueil varié, mais toutes les nouvelles ont en commun ce style inoubliable, incomparable, tendre, vivant, doux, une berceuse...
Extrait : : "Tous, nous tressaillons lorsqu'une rose, en se défaisant dans une chambre tiède, abandonne un de ses pétales en conque, l'envoie voguer, reflété, sur un marbre lisse. Le son de sa chute, très bas, distinct, est comme une syllabe du silence et suffit à émouvoir un poète."
Mon avis : Gigi est une nouvelle vraiment amusante, tendre et légère ; l'enfant malade est poétique, fantastique, cette nouvelle raconte les rêves un peu fiévreux que fait un enfant... la dame du photographe parle d'une femme insatisfaite de sa "petite vie" ; enfin Flore et Pomone est une immense déclaration d'amour à la nature, où l'auteur nous parle d'arbres, de fleurs, d'oiseaux, de fruits et de jardins avec une très belle émotion. Un recueil varié, mais toutes les nouvelles ont en commun ce style inoubliable, incomparable, tendre, vivant, doux, une berceuse...
Extrait : : "Tous, nous tressaillons lorsqu'une rose, en se défaisant dans une chambre tiède, abandonne un de ses pétales en conque, l'envoie voguer, reflété, sur un marbre lisse. Le son de sa chute, très bas, distinct, est comme une syllabe du silence et suffit à émouvoir un poète."