Résumé (trouvé sur Evene) : Chagrin d'école, dans la lignée de Comme un roman_, aborde la question de l'école du point de vue de l'élève, et en l'occurrence du mauvais élève. Daniel Pennac, ancien cancre lui-même, étudie cette figure du folklore populaire en lui donnant ses lettres de noblesse, en lui restituant aussi son poids d'angoisse et de douleur. Le livre mêle les souvenirs autobiographiques et les réflexions sur la pédagogie, sur les dysfonctionnements de l'institution scolaire, sur le rôle des parents et de la famille, sur le jeunisme dévastateur, sur le rôle de la télévision et des modes de communication modernes, sur la soif de savoir et d'apprendre qui, contrairement aux idées reçues, anime les jeunes d'aujourd' hui comme ceux d'hier.
Mon avis : un essai agréable dans l'ensemble, les passages autobiographiques ne sont pas les plus intéressants à mon avis, certains passages sont un peu longs mais j'ai trouvé ses réflexions sur l'école (où il nous fait partager quelques méthodes pédagogiques ludiques par exemple) et les jeunes d'aujourd'hui intéressantes, et je trouve que c'est un livre plutôt optimiste où on sent son amour pour son (ex)métier, cela m'a (peut-être) redonné (un peu) envie d'être prof... (:
Mon avis : un essai agréable dans l'ensemble, les passages autobiographiques ne sont pas les plus intéressants à mon avis, certains passages sont un peu longs mais j'ai trouvé ses réflexions sur l'école (où il nous fait partager quelques méthodes pédagogiques ludiques par exemple) et les jeunes d'aujourd'hui intéressantes, et je trouve que c'est un livre plutôt optimiste où on sent son amour pour son (ex)métier, cela m'a (peut-être) redonné (un peu) envie d'être prof... (: