Quatrième de couverture :(accrochez-vous !) Dans la tragédie racinienne, l'issue fatale imposée par le genre constitue un intérêt secondaire : ce qui importe, c'est la représentation et l'étude de la complexité de la condition humaine aux prises avec les formes multiples de la fatalité. Dans Britannicus, la tragédie est celle d'un instant où un être, Néron, "monstre naissant, mais qui n'ose encore se déclarer", oscille entre le Bien et le Mal. De ce point de vue, Britannicus est la forme dramatique d'un champ de bataille où s'affrontent pulsions, passions et pouvoirs.
Mon avis : d'un côté, le méchant Néron, empereur depuis peu, qui cherche à se libérer de l'emprise de sa redoutable mère Agrippine, et qui deviendra un tyran sanguinaire ; de l'autre, le pauvre et bon Britannicus qui s'est fait piquer son trône. Au milieu ? Junie, aimée à la fois de Britannicus et du terrible Néron (mais qui aime seulement le gentil bien sûr). ça, c'est l'histoire racontée par moi-même. Mais quand c'est Racine qui la raconte, c'est violent, il y a du sang, de l'amour, de la passion, des grandes tirades lyriques et des personnages ô combien tragiques ! Et le tout en alexandrins ! Bon voyage !
Quand vous êtes une petite seconde non initiée à la tragédie racinienne et qu'on vous dit de lire cette pîèce, vous galérez bien sûr. Quand ladite pièce est ensuite étudiée en classe avec une prof aussi géniale que Mme Caillet, et jouée à la cérémonie des Ronsard et tout le toutim, vous arrivez en première L en vous disant que, quand même, Britannicus c'est une sacrée œuvre !!!
Mon avis : d'un côté, le méchant Néron, empereur depuis peu, qui cherche à se libérer de l'emprise de sa redoutable mère Agrippine, et qui deviendra un tyran sanguinaire ; de l'autre, le pauvre et bon Britannicus qui s'est fait piquer son trône. Au milieu ? Junie, aimée à la fois de Britannicus et du terrible Néron (mais qui aime seulement le gentil bien sûr). ça, c'est l'histoire racontée par moi-même. Mais quand c'est Racine qui la raconte, c'est violent, il y a du sang, de l'amour, de la passion, des grandes tirades lyriques et des personnages ô combien tragiques ! Et le tout en alexandrins ! Bon voyage !
Quand vous êtes une petite seconde non initiée à la tragédie racinienne et qu'on vous dit de lire cette pîèce, vous galérez bien sûr. Quand ladite pièce est ensuite étudiée en classe avec une prof aussi géniale que Mme Caillet, et jouée à la cérémonie des Ronsard et tout le toutim, vous arrivez en première L en vous disant que, quand même, Britannicus c'est une sacrée œuvre !!!