Quatrième de couverture : On ne naît pas femme, on le devient. Mais comment le devient-on ? Par l'éducation, la culture, avec le temps ? Isabelle Langerome répond : par le plaisir, par tout ce qui fait jouir. L'amour se conjugue à tous les temps de l'humour et de la nostalgie. C'est le désir attrapé par le c½ur ; l'amour, l'amour sans cesse renouvellé.
Mon avis : ce livre est composé de tout un tas de petits chapitres, chaque chapitre correspond à une personne, c'est comme un gros paquet de souvenirs (il me semble que c'est autobiographique). Le style est simple, tendre, jamais vulgaire, il y a souvent des ellipses, des petites réflexions drôles et inattendues qui clôturent chaque histoire. L'auteur évoque ce qui l'a attirée chez l'autre, les circonstances de la relation... j'ai surtout aimé le début, qui correspond à l'enfance, l'éveil à la vie sexuelle, c'est cru, mais mignon à la fois. Le milieu est un peu lassant, les relations superficielles s'enchaînent, bof... mais je n'ai pas fermé ce livre déçue car elle finit par trouver le grand amour ! Un bouquin pas indispensable mais sympa.
L'extrait : je ne peux pas le recopier ici mais si vous en avez l'occasion, lisez donc la page 47, elle est chouette.
Mon avis : ce livre est composé de tout un tas de petits chapitres, chaque chapitre correspond à une personne, c'est comme un gros paquet de souvenirs (il me semble que c'est autobiographique). Le style est simple, tendre, jamais vulgaire, il y a souvent des ellipses, des petites réflexions drôles et inattendues qui clôturent chaque histoire. L'auteur évoque ce qui l'a attirée chez l'autre, les circonstances de la relation... j'ai surtout aimé le début, qui correspond à l'enfance, l'éveil à la vie sexuelle, c'est cru, mais mignon à la fois. Le milieu est un peu lassant, les relations superficielles s'enchaînent, bof... mais je n'ai pas fermé ce livre déçue car elle finit par trouver le grand amour ! Un bouquin pas indispensable mais sympa.
L'extrait : je ne peux pas le recopier ici mais si vous en avez l'occasion, lisez donc la page 47, elle est chouette.