Quatrième de couverture : Des dieux sanglants et féroces surgis d'un passé lointain, l'impossible métamorphose d'un homme en bestiole aquatique, le public survolté d'un concert qui finit par dévorer le chef d'orchestre et les musiciens... et tant d'autres nouvelles où la réalité se craquelle et tend vers le fantastique, où Cortázar est, comme l'écrit Mario Vargas Llosa, " voyant qui détecte l'insolite dans l'habitude, l'absurde dans la logique, l'exception dans la règle et le prodigieux dans le banal ".
Mon avis : tout d'abord il faut préciser que le style est magnifique, le ton peut varier selon le narrateur (je trouve que les tons enfantins sont particulièrement réussis) mais c'est toujours aussi bien écrit, un délice ! Lire une nouvelle de Cortazar, c'est basculer progressivement dans un autre monde et c'est génial. C'est dans ce recueil (qui comporte 18 nouvelles) qu'on trouve la sublime et effrayante "Continuité des parcs". Mes autres nouvelles préférées ? "N'accusez personne", "Les poisons", "Les ménades", "Une fleur jaune", "Après le déjeuner", "Axolotl" (cette dernière a été publiée dans Muze il y a quelques mois).
Mon avis : tout d'abord il faut préciser que le style est magnifique, le ton peut varier selon le narrateur (je trouve que les tons enfantins sont particulièrement réussis) mais c'est toujours aussi bien écrit, un délice ! Lire une nouvelle de Cortazar, c'est basculer progressivement dans un autre monde et c'est génial. C'est dans ce recueil (qui comporte 18 nouvelles) qu'on trouve la sublime et effrayante "Continuité des parcs". Mes autres nouvelles préférées ? "N'accusez personne", "Les poisons", "Les ménades", "Une fleur jaune", "Après le déjeuner", "Axolotl" (cette dernière a été publiée dans Muze il y a quelques mois).